Par Benjamin
Cette édition du FDJ 2010 a déçu bon nombre de personnes. Autant le journaliste que le visiteur. Une déception en partie due à l’absence remarquée des éditeurs et donc au manque cruel de jeux vidéo. Un espace bien petit pour une si grande passion. Les gamers ont donc fait un peu la moue en se rendant sur place.
Pour ma part je fais partie des déçus, mais il reste que je n’étais présent que ce vendredi matin, la matinée la plus pauvre en événements. Entre la pauvreté de nouveautés proposées et une grande partie dédiée au monde du jeu de plateau (carte à jouer, casse tête, jeux de rôle) et les différentes écoles présentes dans le hall, le Musée du Jeu Vidéo s’est fait une petite place.
Le musée du Jeu Vidéo s’exposait sur 200m² et présentait un panel très intéressant de consoles retraçant 30 années de jeu vidéo. Le stand plutôt réussi nous proposait de reprendre en main nos anciens pad et de rejouer à des titres culte, un certain PacMan et un autre Pong était de la partie. Une initiative que j’ai toujours plaisir à relever tant je reste émerveillé devant ces titres qui ont fait ma jeunesse. Des game & Watch, des consoles portables d’une autre époque (et d’une autre taille…) permettent de se rendre compte à quel point les innovations sont nombreuses.
Un contraste d’autant plus saisissant que deux stands plus loin il était possible de tester des jeux 3D ou bien de jouer sur téléphone mobile à des jeux bien plus fins graphiquement. Reste ce petit « plus » qui habite ces titres d’une époque, la mienne, que j’ai souvent du mal à retrouver dans nos jeux Nextgen. Serais-je un Geek nostalgique ?