Benazir Bhutto n'est plus. Journée maussade, celle où on assassine sauvagement l'un des espoirs de tout un pays. Jour triste, celui où l'intégrisme totalitaire montre son visage le plus laid en tuant le plus beau des visages. Date funèbre, celle où on enterre une dame coupable d'être capable. Capable de remuer une montagne d'idées archaïques et vieillottes et qui, malgré quelques erreurs de parcours, restera l'une des figures emblématiques d'une démocratisation pakistanaise ratée, et sans cesse ajournée.
P.S.: le titre est inspiré du post de Awres.