Nikolaï est veuf depuis peu. Il a perdu sa femme qu'il aimait tant. Un jour, il annonce à sa fille qu'il s'apprête à épouser Valentina, ukrainienne de cinquante ans sa cadette.
La quatrième de couverture me l'a promis, je vais glousser à chaque page. Et hop ! Dans la valise, ce petit roman au titre accrocheur à l'air idéal pour les vacances. Résultat : aucun gloussement, pas même un rire. Je ne me suis pas amusée, le roman ne m'a pas rendue gaie, aucune hilarité, ni joie ni larmes, je n'ai pas pouffé, ne me suis pas payée une belle tranche de rigolade, zéro rictus à l'horizon, même pas une petite risette, je ne me suis pas bidonnée, boyautée, déridée, distraite, divertie, fendue la pêche ou la pipe, ni gaussée, ni gondolée, tant qu'à me marrer, me poiler, me tirebouchonner ou me tordre, encore moins.
L'humour est une réaction subjective bien personnelle, vous l'aurez compris. Mon problème ne s'est pas arrangé lorsque tous les personnages, sans exceptions, ont fini par franchement m'agacer.
Peut-être avais-je trop en tête le délicieux film d'Anne Le Ny, dont le sujet est identique, Les invités de mon père que j'ai adoré pour sa finesse ainsi que sa drôlerie et que je vous conseille sans réserve.
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Par Theoma - Publié dans : Romans étrangers - Communauté : Les lectures de FlorinetteEcrire un commentaire 5 - Voir le commentaire - Voir les 5 commentaires - Partager ' ); YAHOO.util.Selector.query( 'input', dial.getEl(), true ).focus(); }, this, true ); return false; " title="Partager par adresse simplifiée"> Précédent : Affinités – Sarah Waters Retour à l'accueil