Magazine High tech

Test de R.U.S.E.

Publié le 09 septembre 2010 par Axime

La stratégie pour tous

Test de R.U.S.E.

A l’heure où le microcosme des amateurs de stratégie ne jure que par Starcraft 2, le maître du genre sur PC, un outsider vient titiller un public encore boudé sur consoles. R.U.S.E. de son petit nom, est un jeu de stratégie qui cherche à démocratiser un genre qui fait encore peur à de nombreux joueurs, ceux qui pensent qu’il faut connaître une centaine de raccourcis et réaliser mille actions à la minute pour espérer rivaliser avec un adversaire moyen. Jusque là abonnés à quelques fonds de tiroirs et d’extrêmement rares bonnes surprises, il est temps pour les joueurs consoles de découvrir un nouveau monde.

source - 211801 source - 211803 source - 229258


Le maître de guerre
Oubliez la micro-gestion prônée par n’importe quel champion de Starcraft, dans R.U.SE. c’est la macro-gestion qui est à l’honneur. Ici, il n’est pas question de donner des ordres unité par unité pour être sûr de se trouver quelques millimètres assez loin pour que votre adversaire ne vous touche pas pendant que vous le mitraillez. Non, vous devez simplement savoir placer en embuscade vos unités de la meilleure façon possible pour défendre ou garder un chemin critique, avancer efficacement et contrer les attaques adverses en opposant les bonnes unités à celles qui sont en face. Vous dirigez des groupes d’unités qui peuvent se superposer pour former un ensemble bien plus facile à manier et à déplacer, de plus, une fois le combat engagé, tout se fait automatiquement. Tout ça pour grappiller quelques mètres et établir une nouvelle ligne de front jusqu'à acculer l'ennemi dans son camp.
R.U.S.E. vous place dans la peau d’un tacticien qui doit donner des ordres à ses unités, le terrain de jeu étant une représentation éloignée du champ de bataille sur lequel vous pouvez observer toutes les unités présentes, mêmes celles de l’adversaire. Seulement voilà, vous ne pouvez voir qu’une représentation grossière sous forme de jetons empilés les uns sur les autres, plus ou moins larges selon la taille des unités, et plus ou moins hauts selon la quantité de troupes amassées en un même point. Si vous voulez en savoir plus il va falloir que vos forces s’approchent pour les avoir dans votre champ de vision, à ce moment seulement vous verrez exactement ce qui vous attend. Du coup, on peut toujours savoir où se trouve l’adversaire ou presque… en effet, si vous apercevez votre ennemi lorsqu’il gambade gaiement dans les champs, vous ne savez pas ce qu’il se passe dans les bois et dans les villes. Il est ainsi possible de monter des embuscades en positionnant les unités légères sur les places des villages visibles sur la carte, où dans n’importe quel lieu boisé. Si les troupes ennemies passent à portée, sans être accompagnées d’un éclaireur capable de savoir ce qui se passe en ces sombres lieux, alors vous attaquez par surprise et vous pouvez faire de gros dégâts. De simples soldats peuvent ainsi venir à bout d’un groupe de tanks, ou une petite équipe en vaincre une autre comportant le double de combattants sans subir de pertes. L’adversaire doit alors s’adapter s’il désire passer vos défenses, et les possibilités sont tellement nombreuses que l’on ne s’ennuie à aucun moment, sans jamais avoir l’impression de refaire le même combat. 
Outre l’infanterie de base, vous aurez accès à des chars, des avions, de l’artillerie, des unités anti-char et même des prototypes dont les coûts de production monstrueux sont compensés par une grande puissance. Chaque type d’unité est construit dans un bâtiment particulier. L’argent étant le nerf de la guerre, et votre seul moyen pour construire votre armée, il va vous falloir créer des dépôts de ravitaillement qui seront reliés à votre base grâce à des camions faisant l’aller retour. Autant de cibles visées par votre adversaire afin de ralentir votre économie et bloquer le déploiement de votre armée. Vous connaissez maintenant les bases, vous pouvez vous défendre, mais si vous pensez que ce sera suffisant pour gagner la guerre, vous êtes loin du compte !

source - 237072 source - 237074 source - 237076


Rusera bien, qui rusera le dernier
La grande originalité de R.U.S.E. c’est d’offrir des tactiques spéciales applicables sur une partie de la carte, appelées ruses, afin d’avoir l’avantage sur l’armée adverse. Elles sont disponibles en quantités limitées et on obtient le droit de les utiliser au fur et à mesure que le temps passe. A vous de voir si vous préférez tout utiliser d’un coup pour une attaque brutale, ou au contraire, les repartir sur le long terme tout en gardant une réserve de sécurité. On retrouve donc le Blitz qui accélère de moitié la vitesse des unités, le fanatisme qui va obliger vos troupes à se battre jusqu’à la mort plutôt que de prendre leurs jambes à leur cou, la terreur qui poussera vos adversaires à fuir plus facilement, la création de bases factices pour orienter les attaques vers un autre point du champ de bataille et de fausses offensives pour déplacer les défenses ennemies et les rendre moins efficaces face à vos troupes. L’espionnage révèle toutes les unités de la zone, sauf celles cachées en ville ou en forêt, le décryptage vous montre les mouvements prévus pour les unités adverses, le silence radio masque vos troupes alors que le camouflage fait de même avec vos bâtiments. Dernière ruse, les infos inversées indiquent des unités légères à votre ennemi là où se trouvent les troupes lourdes, et vise versa. Là encore, les possibilités offertes par ces ruses peuvent totalement changer la physionomie d’une bataille qui semblait perdue, tout en offrant un jeu simple et compréhensible par tous, même sans être un dieu de la manette, du clavier ou de tout contrôleur possible et imaginable.

source - 247975 source - 247979 source - 247980


Souris, Tacticle, Manette, Move
Petit à petit, le monde des consoles de jeux empiète sur les titres qui étaient jusque là réservés aux joueurs PC. L’exemple le plus flagrant est la multiplication des FPS consoles, genre autrefois rare et dont la place unique était le sacro saint ordinateur pour tous les amoureux du clavier et de la souris. Même si le PC aura toujours l'avantage en terme de réactivité, la qualité est de plus en plus au rendez-vous sur les machines de salon, les ventes y sont même meilleures désormais. La stratégie, par contre, semble totalement impossible à adapter pour un gameplay à la manette. Eugen Systems nous prouve le contraire. Plus fort encore, le jeu est adapté à la majorité des contrôleurs existant puisqu’il est jouable à la souris et au clavier sur PC, à la manette sur consoles et au PlayStation Move sur PS3, le tout avec réussite.
Commençons par le plus facile, le jeu à la souris et au clavier est on ne peut plus classique. On clic sur ses unités, on les envoie où on a envie et on clic sur un adversaire pour l’attaquer. Simple et efficace. Les contrôles à la manette sont tout aussi réussis. On parcourt la carte avec le stick gauche, le curseur se place sur les soldats lorsqu’on s’en approche, un clic sur un bouton et vous voici en train de contrôler la pile de jetons qui représente vos troupes. Petit bémol tout de même, le stick étant moins précis que la souris, lors d’un gros rassemblement près d’un bâtiment, si on veut se placer sur celui-ci, il peut arriver qu’on doive s’y reprendre à plusieurs fois. Il faut surtout acquérir le réflexe de zoomer afin de bien séparer la structure des petits bonshommes, facilitant ainsi votre choix. Pour en revenir à nos combattants, si différents types d’unités sont entassés ensemble, il suffit de naviguer dans la liste qui s’affiche en bas de l’écran à l’aide des gâchettes. Si on désire sélectionner un ensemble qui n’est pas empilé, on peut soit utiliser une touche qui sélectionne toutes les unités d’un même genre aux alentours, soit une gâchette qui va faire apparaitre un cercle autour de votre curseur, tant que vous la maintenez appuyée, tout ce qui passe dans cette zone sera sélectionné, un moyen efficace de réunir des troupes éparpillées. Pour ceux qui veulent scinder un même groupe, un coup de joystick droit pour zoomer vous donnera un aperçu des combattants de façon unitaire et non plus entassés. Enfin, la création des bâtiments et des unités, ainsi que l’utilisation des ruses, se fait via un menu accessible en un clic. Vous pouvez alors faire défiler la liste des bâtiments, si vous en possédez un exemplaire, les possibilités de créations s’affichent en dessous, il suffit de les sélectionner et de rester appuyé aussi longtemps que nécessaire pour avoir le nombre de soldats que vous désirez, vous n’avez plus qu’à les placer sur la carte pour qu’ils aillent gentiment rejoindre ce point une fois prêts à partir au combat.
En ce qui concerne le PlayStation Move, son utilisation est très agréable. Le périphérique gère toute la partie boutons et le pointage à l’écran est bien entendu bien plus intuitif. Les déplacements sur le terrain continuent à se faire grâce au stick de la manette ou du contrôleur, tout comme la gâchette permettant d’afficher la zone de sélection. Il ne vous faudra pas plus de quelques minutes pour vous y habituer. Ayant fait ma première partie sur une manette Xbox 360, j’ai été un peu surpris par la prise en main du Move, oubliant même de bouger le curseur à l’écran, mais une fois l’habitude prise, les actions s’enchaînent plus rapidement et on prend plaisir à agiter sa baguette pour donner ses ordres, tel un véritable chef d'orchestre.
Quelle que soit votre configuration, il ne vous faudra pas plus de quelques minutes pour vous habituer. Vous pouvez dès à présent essayer la démo pour vous faire votre propre idée mais à moins d’être manchot tout le monde s’en sortira.

source - 247982 source - 258798 source - 258799


Six nations, une guerre, une infinité de batailles
Après cette longue, mais indispensable, présentation du gameplay, il est temps de voir toutes les possibilités qui nous sont offertes pour mettre en pratique nos qualités de stratèges. Commençons donc par la campagne solo qui suit l’histoire d’un officier américain qui va gravir les échelons au fur et à mesure des escarmouches durant la seconde guerre mondiale, tout en cherchant à découvrir qui est Prométhée, un espion fournissant des informations aux nazis. En difficulté normale, il vous faudra au moins douze heures pour boucler les vingt-trois chapitres, et les derniers seront loin d’être une partie de plaisir. Se déroulant entre 1943 et 1945, le scénario vous emmènera de l’Afrique du nord à l’Allemagne, en passant par les plages normandes. Si l’histoire n’est pas extraordinaire en soi, et même cousue de fil blanc en de nombreuses occasions, ces heures seront un excellent entraînement à ce qui vous attend par la suite. Vous affronterez des situations très variées, que ce soit en défense, en attaque ou à devoir conquérir un territoire donné en temps limité. Vous allez en voir de toutes les couleurs et vos nerfs seront mis à rude épreuve.
Pour ceux qui se sentent supérieurs à Napoléon, par le talent plutôt que par la taille, le mode Operation leur offrira des défis à la hauteur de leur génie. Six scénarios sont disponibles, et ils sont tous très ardus. Deux se jouent face à une IA unique, deux autres opposent le joueur à plusieurs IA et enfin, les deux derniers se jouent en coopération. Chaque mission compte un nombre non négligeable d’objectifs secondaires, les réussir tous vous demandera un grand sens tactique, et beaucoup d’essais, à n’en pas douter.
Si vous ne vous pensez pas encore prêt à vous lancer sur le jeu en ligne, il vous reste la possibilité de vous entraîner face à des IA sur des cartes allant de deux à quatre joueurs. Le principe est le même que pour le multijoueurs : gagner. Pour cela vous avez à votre disposition sept cartes pour deux joueurs, trois pour trois adversaires et onze se jouant à quatre. Dans tous les cas, ces champs de bataille sont plus ou moins grands et vous pouvez jouer chacun pour soi, ou en équipes de deux. Les parties classées par contre sont limitées aux modes un contre un et deux contre deux.
Avant de débuter une partie, on commence par choisir sa carte, la limite de temps, la période historique de l’affrontement et une nation. Pour gagner la partie vous devez, soit annihiler toute résistance adverse, soit être en tête au tableau des scores à la fin du temps réglementaire. Les points sont gagnés grâce aux unités et bâtiments adverses détruits ou capturés. Trois périodes historiques sont disponibles, 39, 42, 45. Selon votre choix, vous serez plus ou moins limité en termes d’unités. Par exemple, les unités prototypes ne sont disponibles qu’en 45 et les bâtiments anti-char à partir de 42. On peut ainsi varier les affrontements, même si rien ne reste plus agréable que de disposer d’une puissance de feu complète, les tactiques possibles s’en trouvant multipliées.
Les six pays disponibles sont l’Allemagne, l’Angleterre, les Etats-Unis, la France, l’Italie et l’URSS, chacune ayant ses forces et ses faiblesses, ainsi que ses doublages. Vous entendrez les commentaires de votre armée dans leur langue, ainsi c’est l’occasion d’apprendre les termes militaires en russe ou en italien, on ne sait jamais, ça peut servir. Les allemands sont très puissants grâce à leurs chars et leur aviation, les anglais disposent de la meilleure force aérienne, les Etats-Unis sont équilibrés dans tous les domaines, la France représente la meilleure défense, des chars et une infanterie de qualité mais pour des prix plus élevés que ses concurrents, l’Italie a des soldats très rapides et une artillerie de premier ordre et enfin l’URSS possède une puissante infanterie au détriment de son artillerie. L’équilibre des forces est donc bien présent et les subtilités de chaque pays se dévoileront au fur et à mesure de vos parties. Inutile de passer des heures et des heures d’entraînement avec chacun pour les maîtriser avant de repartir à zéro en voulant tenter de contrôler un nouveau camp. Bien que différents, chacun garde une base commune suffisante pour ne pas se perdre en passant des légionnaires français aux GI américains. Des unités sont bien entendu uniques à une nation, mais on retrouve toujours un équivalent chez les autres. Peut être que varier encore plus les possibilités, en retirant des chasseurs aux français par exemple, aurait accentué un peu plus les différences, ce qui aurait sans doute rendu l’équilibrage des factions plus délicat, mais aurait aussi plus influencé sur le jeu d’un pays. L’avantage cependant, c'est qu’on ne risque pas de tomber sur des anglais jouant uniquement l’aviation, au contraire, l’adversaire peut s’attendre à une telle tactique et se faire balayer par des tanks car il n'aura prévu que de l'anti-air. Les deux choix auraient été compréhensibles, mais actuellement les différences ne sauteront pas aux yeux du joueur débutant, le choix d’une nation préférée se fera donc lentement, au fur et à mesure des parties. Un regret tout de même à propos des factions, les japonais ne sont pas présents pour représenter le conflit du Pacifique. Peut être que l’absence d’unités maritimes a fait que les développeurs se sont concentrés sur les acteurs du conflit en Europe, mais il est dommage que cette liste ne soit pas un peu étendue à l’Asie.

source - 258802 source - 268616 source - 268619


Chaque victoire impose des sacrifices
On l’a compris, au niveau du gameplay et des possibilités, R.U.S.E. s’impose comme un plaisir qui hantera vos jours et vos nuits. Cependant, tout n’est pas parfait pour autant. Graphiquement tout d’abord, les cinématiques n’ont rien d’exceptionnel, les personnages sont très simplifiés par exemple. On sent bien que c’est la patte graphique voulue, le trait renforcé et arrondi mais tout le monde n’aimera pas. Ceci dit, ces scènes restent anecdotiques. Ce qui est plus gênant, c’est que lorsque vous parcourez la campagne solo, parfois l’écran va rétrécir pour laisser apparaître la description d’une nouvelle unité, d’un nouveau bâtiment ou vous montrer une scène se déroulant au même moment. Idéal pour renforcer l'immersion du joueur, moins pour le laisser jouer, puisque ces apparitions masquent une partie de votre écran, dont celle où s’affiche le prix des unités que vous allez produire. Lorsqu’on vous donne deux minutes pour préparer votre défense et que la moitié sert à vous montrer de nouvelles unités dont vous ne connaissez pas le prix, il est un peu frustrant de devoir juste vérifier les coûts pour relancer la partie et pouvoir s’organiser pendant que les informations défilent à nouveau.
Comme nous le disions plus tôt, il est possible de zoomer pour voir ses unités de façon plus détaillée, le passage d’une vue éloignée à proche se fait très bien et les détails apparaissent à mesure qu'on l'on s'approche. On peut d'ailleurs s'émerveiller de la facilité avec laquelle se fait la transition entre la vue de loin et celle proche des troupes, sur ce point, la technique de R.U.S.E. fait merveille dans la très grande majorité des cas. Malheureusement, sur deux chapitres comportant énormément d’unités sur une très grande map, il est arrivé que les textures mettent du temps à apparaitre. Ce petit souci se transforme en véritable problème lorsque le joueur se voit dans l'impossibilité de déplacer une unité dans cette zone tant que la texture n'est pas chargée. Dans un cas, il aura même fallu sauvegarder et relancer la partie pour réinitialiser la carte. Si ce cas est exceptionnel, et peut se comprendre étant donné le nombre de personnages à l’écran, il est bien dommage que ce soit pénalisant. Heureusement, ce cas n’est pas réapparu en dehors des deux fameux chapitres de la campagne solo.
Si on ne s’attarde pas sur ce défaut graphique, R.U.S.E. est un excellent jeu de stratégie qui a réussi le difficile pari d’allier un jeu passionnant à un gameplay réussi ne nécessitant pas des milliers de clics à la seconde pour s'amuser tout en restant compétitif. Les possibilités tactiques sont très nombreuses et promettent des parties endiablées. Rien qu’en jouant contre l’IA, vous la verrez rarement utiliser plusieurs fois les mêmes ficelles, alors contre des humains les possibilités semblent sans fin. Les amateurs de jeux de stratégie, autant que ceux qui s’y intéressent mais restent bloqués par la quantité de facteurs à gérer, pourront se retrouver autour d’un titre d’une réelle profondeur. Eugen Systems fait mouch en mettant la stratégie à la portée de tous, et nous propose un superbe jeu qu’il serait dommage de manquer.

Note finale
8 / 10
La stratégie frappe un grand coup, aussi bien sur le terrain du PC que sur celui des consoles. Un gameplay simple d’accès proposant une profondeur stratégique importante et des possibilités à n’en plus finir, notamment grâce aux ruses qui peuvent avoir une importance capitale sur le déroulement de la partie, voici la recette miracle de R.U.S.E.. Toutes ces bonnes idées nous offrent un jeu de stratégie accessible qui ne pêche que par quelques soucis graphiques et peut-être le manque de différences flagrantes entre les factions. Si vous vous intéressez un tant soit peu à la tactique, vous devez absolument vous essayer au titre de Eugen Sytems. Préparez vous à démontrer à tous que Napoléon n’était qu’un amateur comparé à votre génie tactique.
On a aimé

Une profondeur tactique impressionnante
L’ambiance des batailles avec les unités parlant dans leur langue
Les ruses qui apportent un gros plus

On n'a pas aimé

Les petits problèmes graphiques en solo
Pas d’unités maritimes et de nation pour le pacifique

On s'en tape

Le scénario trop convenu
Jouer les américains 90% de la campagne solo

Par Aalok Hier à 22h21
  • Avatar de Uolif Uolif Plus que correct. :cthulhu: il y a 4 heures
    • Night Watch - We fight in the shade ! - Débloqué le 07 mars 2008
    • Endless Ocean 2 - Endless Ocean 2 - Débloqué le 06 avril 2010
    • Je suis le premier ! (niv 5)  - Premier à poster sur 500 commentaires - Débloqué le 02 septembre 2010
    • World of Goo -  - Débloqué le 29 juillet 2009
    • Android - Résistance contre apple - Débloqué le 01 août 2010
  • Avatar de b2zo-almendha b2zo-almendha Une des bonnes surprises de cette année, mais moi, je n'aime pas du tout le genre. J'ai déjà assez souffert avec Alerte Rouge 3 ! :geek: il y a 3 heures
    • Playstation 3 - Utilisateur de Playstation 3 - Débloqué le 06 juillet 2008
    • Uncharted Drake's Fortune - Nathan Drake - Débloqué le 10 décembre 2007
    • Assassin's Creed 2 - Assassin's Creed 2 - Débloqué le 05 avril 2010
    • FF XIII - Lightning - Débloqué le 05 avril 2010
    • God of war - Kratos - Débloqué le 05 avril 2010
Vous devez posséder un compte Livegen et être connecté pour pouvoir poster un commentaire. Connexion Inscription R.U.S.E.

R.U.S.E.

  • PS3
  • Genres : Gestion
  • Sortie FR : 09 septembre 2010
  • Ce jeu de stratégie en temps réel se déroule pendant la Second Guerre mondiale permet à tous les joueurs de faire preuve de sens tactique, voire pire, de trahison. La guerre, c'est la guerre.
Note
(0 vote)
  • Le lancement de R.U.S.E. est imminent
  • Ubisoft présent en force à la Gamescom
  • Des images et des R.U.S.E.
  • Un peu de R.U.S.E. en vidéo
  • R.U.S.E. sort de son trou
  • R.U.S.E. se montre en images
  • TGS 09 R.U.S.E. : de nouveaux écrans
  • GC 2009 R.U.S.E. en bêta-test
  • E3 2009 R.U.S.E. fait sa promo en vidéo !
  • R.U.S.E. annoncé et dévoilé

Retour à La Une de Logo Paperblog

A propos de l’auteur


Axime 898 partages Voir son profil
Voir son blog

l'auteur n'a pas encore renseigné son compte l'auteur n'a pas encore renseigné son compte