Pas mal du tout cette escapade de nos amis et de Zorglub dans l'exotique Paris de 1865. Pas mal exceptée l'horrible case reproduite ci-contre. Elle me hérisse le poil. Je ne me souviens pas d'une scène d'une telle violence dans une précédente aventure de Spirou. Il n'est pas de "pof ! pof!" adoucissant qui tienne, on voit bien les étoiles noires de la douleur !
Notre bon reporter frappe son fidèle et gentil animal de compagnie et tout ça en lui reprochant sa curiosité, trait de caractère qui devrait être une vertu pour un aventurier...
Ce conformisme, allié à la représentation du châtiment corporel et de la mal traitance des animaux par une figure de héros, un modèle pour la jeunesse, c'est tout simplement dégueulasse. Le pire étant que cette séquence est présentée comme anodine. Beurk.