Le petit nerveux néo-libéral aux idées courtes et au verbe vide mais tellement omniprésent s’entête.
Comme le gamin que l’on prive de son jouet. Face à une mobilisation populaire pourtant plus que forte, il ne veut rien céder, ou alors quelques miettes sans importance.
Non content d’avoir mené et prôné pendant des lustres une politique économique qui a plongé son pays dans la crise que l’on sait, il multiplie les âneries pour l’y maintenir maintenant pour quelques lustres supplémentaires, au prix évidemment d’une demi-génération au moins sacrifiée sur l’autel du remboursement nécessaire d’une dette qu’elle n’a ni voulue ni engendrée.
La responsabilité selon Sarkozy, c’est « payer donc pour mes conneries et vous serez sauvés« . Une sorte d’évangile du 21e siècle qu’il aime à faire passer par les canaux de ministres manipulateurs et menteurs, Woerth n’étant évidemment pas le dernier parmi ceux-ci.
Il y a bien longtemps qu’on n’avait plus vu les centrales syndicales françaises aussi « sages » et résolues à travailler concrètement. C’est la preuve quelque part de la profondeur du mal.
Mais Sarkozy préfère la politique de la terre brûlée. Il doit savoir au plus profond de lui-même que sa réélection en 2012 est devenue impossible. Il brûle donc les terres pour que la gauche soit rendue responsable d’une vraie politique de rigueur qui sera devenue vitale.
Avec en plus pour la France une note internationale de sa dette en chute libre et très proche d’une héllénitude, le petit nerveux a vraiment raté tout de qu’il a entrepris.
L’ordre de la légion d’honneur dont il est le grand maître devra lui inventer une nouvelle médaille, celle de la connerie.
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