George Harrison-Gone Troppo-1982

Publié le 08 septembre 2010 par Numfar

Novembre 1982, sortie du nouvel album de George Harrison : "Gone Troppo" (#101 US), produit par George Harrison, Ray Cooper & Phil Mcdonald.

Wake up my love (Harrison)

That's the way it goes (Harrison)

I really love you (Swearingen)

Greece (Harrison)

Gone troppo (Harrison)

Mystical one (Harrison)

Unknown delight (Harrison)

Baby don't run away (Harrison)

Dream away (Harrison)

Circles (Harrison)

MUSICIENS :

George Harrison : chant, guitare, claviers, basse

+

Guitare : Joe Brown

Claviers : Mike Moran, Ray Cooper, Billy Preston, Neil Larsen, Gary Brooker, Jon Lord

Basses : Herbie Flowers, Willie Weeks, Mike Moran, Alan Jones

batterie et percussions : Henry Spinetti, Ray Cooper, Jim Keltner, Dave Mattacks

Un album décevant, qui d'ailleurs ne s'est pas vendu, mais qui contient quelques bons morceaux, comme "That's the way it goes", la reprise doo-wop de "I really love you", "Gone troppo", "Mystical one" ou encore "Dream away", du film de Terry Gilliam "Time Bandits".

"Wake up my love" ne serait pas mauvais s'il n'était englué dans des synthés du plus mauvais goût.

Mais surtout on sent que le coeur n'y est plus et cet album manque cruellement d'énergie.

George va d'ailleurs raccrocher pour cinq longues années, avant son come back retentissant en 1987.

Mais en ce début d'années 80, ni George ni Ringo ne semblent avoir beaucoup de fans, et même Paul Mccartney va connaître une période difficile jusqu'en 87.

Sortie simultanée du single "Wake up my love-Greece" (#53 US).

George Harrison sortira plus tard le single "I really love you-Circles" sans succès.

Novembre : sortie d'une compilation de John Lennon : "The John Lennon Collection".

Il contient les inédits en albums : "Happy christmas" et "Power to the people".

Une deuxième version, uniquement américaine, contient "Give peace a chance" et "Instant karma".

Début du tournage du film de Paul Mccartney : "Give My Regards To Broadstreet" avec Linda Mccartney, Ringo Starr et Barbara Bach.

© Pascal Schlaefli

Urba City

Septembre 2010