Squally : poème "Une femme au sein lourd"

Par Illusionperdu @IllusionPerdu
Un papillon de nuit volant au clair de lune
S
e déposse sur les lèvres inanimé d'une femme
Lui offrant un baiser sur sa bouche ferme
Des
formes d'un blanc pur qui dans la neige délicatement se fane
Ses
cheveux se rependent comme des poussieres d'étoiles
Brillant de tout leur éclat, leur reflet de feu danse sur la glaçe
Ses yeux souvrent, formant un parfait contraste sur sa face
Aussi p
rofondement bleu que les océans mysterieux, caché d'un doux voile
Doucement, elle prend le papillon de ses main délicate
des
mains fines, belles, mais terrifiantes pour ces cinq griffes
La fem
me se relève, ces cheveux flottant dans une brise qui la coiffe
Ell
e déchiré les ailes du volatiled'un geste bruste etavec une incroyable hâte
Un so
urire docile se repend alors sur ses lèves délicieuses
Comme
si un démon s'était empris de son esprit
Seu
l sont sentiment de solitude, dans cette transformation survi
Derri
er sa beauté aparante se cache une femme affreuse
C
omme si sont masque de velour
n'était que du verre veritable
Qui se
rai tomber apres un vecu instable
Et
une prison de fer l'enveloppe pour toujours
Du sang coule le long de ses joue si clair
L
e sourir disparait dans un brouillard
La lune est si grosse se soir ......
Et un destin funeste se prépare dans l'air
Les ailes blanche du papillon s'envole
Loin d
e son corps et de son esprit
P
lus rien n'a d'importance et de prix
Le glas funeste tinte légerment au sol
La mo
rt se fait entendre dans une peur parfaite
Un
pognard transperce un corps si faible
La vi
e prend de nous cette face aimable
Et
subsiste eternelement dans notre tête
Le so
uvenir de cette femme aux ailes blanche
répen
dant sa tristesse dans les plaines
et
son doux poison dans les fontaines
D
es sanglots desendant des montage tel des avalanche

Une fem
me qui tien dans sa main
Le de
stin du monde est des êtres
U
ne femme qui tien dans son sein
une fa
ux comme si elle était sa mère