Un papillon de nuit volant au clair de lune
Se déposse sur les lèvres inanimé d'une femme
Lui offrant un baiser sur sa bouche ferme
Des formes d'un blanc pur qui dans la neige délicatement se fane
Ses cheveux se rependent comme des poussieres d'étoiles
Brillant de tout leur éclat, leur reflet de feu danse sur la glaçe
Ses yeux souvrent, formant un parfait contraste sur sa face
Aussi profondement bleu que les océans mysterieux, caché d'un doux voile
Doucement, elle prend le papillon de ses main délicate
des mains fines, belles, mais terrifiantes pour ces cinq griffes
La femme se relève, ces cheveux flottant dans une brise qui la coiffe
Elle déchiré les ailes du volatiled'un geste bruste etavec une incroyable hâte
Un sourire docile se repend alors sur ses lèves délicieuses
Comme si un démon s'était empris de son esprit
Seul sont sentiment de solitude, dans cette transformation survi
Derrier sa beauté aparante se cache une femme affreuse
Comme si sont masque de velour
n'était que du verre veritable
Qui serai tomber apres un vecu instable
Et une prison de fer l'enveloppe pour toujours
Du sang coule le long de ses joue si clair
Le sourir disparait dans un brouillard
La lune est si grosse se soir ......
Et un destin funeste se prépare dans l'air
Les ailes blanche du papillon s'envole
Loin de son corps et de son esprit
Plus rien n'a d'importance et de prix
Le glas funeste tinte légerment au sol
La mort se fait entendre dans une peur parfaite
Un pognard transperce un corps si faible
La vie prend de nous cette face aimable
Et subsiste eternelement dans notre tête
Le souvenir de cette femme aux ailes blanche
répendant sa tristesse dans les plaines
et son doux poison dans les fontaines
Des sanglots desendant des montage tel des avalanche
Une femme qui tien dans sa main
Le destin du monde est des êtres
Une femme qui tien dans son sein
une faux comme si elle était sa mère