Twitter est une source quasi inépuisable de liens, d’actualités, d’humour et j’en passe. C’est aussi un terreau fertile en surprises, qu’elles soient bonnes ou mauvaises.
L’Âme Soeur
Celles et ceux qui me suivent depuis quelques temps savent que j’ai un petit penchant « créatif ». Cette facette s’exprime d’abord par le biais de la photographie, une voie ma somme toute très conventionnelle. De ce point de vue, la Volière (lisez Twitter) m’aura ouvert de nouveaux horizons picturales. L’occasion de découvrir de nouveaux regards, de nouveaux talents… Et je dois vous le dire, il réside dans cette Volière un bon nombre de photographe de Talent ! Si vous cherchez un peu, vous n’aurez pas de mal à les trouver.
L’image non conventionnelle
Bien, ça, c’est pour l’aspect conventionnel, passons donc à quelque chose qui l’est un peu moins, le Photomontage, car c’est doute là que je me sens le plus à l’aise. Les montages, ou peinture numériques, appelez ça comme vous le sentez, me permettent de créer un champ d’évasion très vaste. C’est une façon de recréer un autre monde. Cependant, tout les mondes du monde ont une naissance. Alors quoi de plus naturel que d’incorporer le corps de la Femme dans sa plus simple expression ? Rien. De plus, j’aime par dessus les courbes féminines. Elles me parlent, m’adoucissent, elles me font vibrer, voyager, au delà de la simple vision d’un corps nu.
Le nu est une histoire vieille comme le monde. Derrière cet art, se cache souvent la complicité qu’il faut inventer entre un Homme et une Femme, entre un regard et corps, pour que l’image prenne forme. C’est un jeu de séduction, un jeu de charme, sans jamais se toucher. La confiance et le respect sont les maitres mots de cette aventure, qui dure le temps d’une image, ou le temps d’une série. C’est la découverte, souvent réciproque, de deux mondes opposés. Je dit opposé car je ne construit jamais mes montages avec des jeunes femmes ayant l’habitude de poser. Cela serait trop simpliste. L’idée d’un monde nouveau appel la présence d’une Femme du monde de tous les jours.
Et là, Ô lecteur, tu te demandes bien ce que Twitter vient foutre dans cette histoire ?! J’y viens, ne t’impatiente pas, laisse moi donc finir ma belle envolée lyrique hein… Bon, ça, y est, tu m’as coupé dans mon élan. Alors, je vais t’expliquer pour Twitter est important dans la démarche.
Attention, voyeur en vue !
Comme tu t’en doute cher Ami, sur Twitter, nous avons quelques beaux Volatiles du genre Féminin, mais si, regarde donc #decollete et #gambette, tu verras ! Bref… La Volière est donc un lieu idéal pour moi. Il me permet de chercher de nouveaux corps, de nouvelles lignes. Ce n’est pas non plus la pêche miracle, et il faut faire attention à ne pas heurter les sensibilités, à ne pas passer pour un voyeur, et j’en passe.
Bien sûr, si je prend soin de contacter une personne pour une collaboration, c’est bien que cette dernière possède quelque chose qui me parle, qui m’attire. Je ne vais pas passer plus de 4h00 devant mon écran à habiller un corps nu qui ne parle absolument pas. Cette forme de création, c’est aussi une façon d’aimer, sans jamais toucher, sans jamais s’approcher, quelque chose comme la passion, quelque chose qui brûle, et qui plutôt que de se terminer dans un plumard avec tout les emmerdes qui vont avec, se finit en image, ce qui reste bien plus doux, bien plus agréable, et crée une sensation qui me semble plus aboutie.
C’est écrit
Enfin, pour finir cet épisode créatif de ma vie dans la Volière, il existe aussi un volet écrit. Vous avez peut être découvert Antre Soi Dévoilés, un petit site dont la rédaction se partage entre une Dame de la Volière et moi même. C’est un aspect totalement inattendu, surprenant, tout à la fois agréable et parfois décevant. Mais c’est là tout le sel de ces aventures numériques, tout le piment de ces petites histoires qui font nos vies sur la toile. Il faut savoir garder un peu de recul et de raison pour mieux partager et recevoir ce que les autres pourraient avoir à nous offrir, #oupas.