Les frappes de Roberto Carlos ont souvent fait le tour du monde et plus que tout autre celui contre Barthez en 1997. Des chercheurs donnent 3 éléments pour reproduire le tir magique : « Si la distance est réduite, vous ne remarquez que la première partie de la courbe. Mais lorsqu’elle est grande, comme c’est le cas ici, vous voyez cette même courbe plus nettement, et devinez l’ensemble de la trajectoire. » En l’occurrence, le scientifique décrit la trajectoire du ballon comme suivant « la forme d’une coquille d’escargot », c’est-à-dire prenant une forme de spirale. Mieux, si la gravité n’avait pas fait son office, la balle aurait fini par tourbillonner dans la surface de réparation après être entrée dans le but.