Je dis : bien des choses encore me restent incompréhensibles. Que l’académie de France à Rome ne doivent être ouverte qu’à certains, non à d’autres. Question d’être légitime ou pas. On parle de « colère » et « d’inquiétude » d’un certain côté parce qu’en la villa Médicis vint d’être accueillie, non une représentante du très étroit cercle de la musique savante, mais une musicienne électro rock en marge des standards, Claire Diterzi. Chasse gardée. Comprends pas bien que des gens engagés dans un démarche, haute et exploratoire doivent encore se justifier auprès de quelques aigris frileux. Comprends pas non plus cette querelle de chapelle, ce protectionnisme et cette manière de sous entendre un art mineur au sujet duquel l’art « noble » et haut n’aurait qu’à médire, qu’à se défendre. Logique mortifère là où on aurait aimé ouverture et enrichissement réciproque. Cette incompréhension que l’on peut éventuellement attendre d’esprits bornés et peu instruits, on se désole qu’elle soit depuis des personnes impliquées dans un art. En réponse à la lettre ouverte une pétition circule.
Ecouter, vous croiserez Fragonard comme Rosa Luxembourg, une reprise de Dylan et quelques autre choses.