Landscape(s), les paysages transitoires
D’abord, je parcourais la banlieue parisienne, attiré par les zones transitoires, les entre-deux dans lesquels la ville s’efface, offrant la confrontation épisodique et frappante d’un bâtiment surgit dans le paysage. (2004-2006)
Les balnéaires
A cette époque, je voulais me défaire des lectures sociologiques que certains faisaient de mon travail et de cet efficace consensuel que revêtait le fait de peindre des tours HLM. Pour m’aider, refluaient en nombre des images d’enfance, villas sur la corniche, pins tordus et lumière calme. (2006-2007)
Les déplacements
Résidence d’artiste à Valencienne d’avril à juin, déménagement de Paris à Lyon pendant l’été, à Montluçon de septembre à février, Lyon en mars, en Normandie d’avril à juin. Arpentant le territoire, je recherche toujours ce sentiment de présence que suggère parfois un bâtiment ordinaire dans l’arrangement d’une vue. L’occasionnel le partage aux souvenirs. (2007-2008)