ia - autoconstruction piscine naturelle
- Se documenter sur les piscines naturelles. Il faut que vous compreniez le fonctionnement des piscines naturelles et que vous vous fassiez votre propre idée sur la question.
- Choisir une technique d’étanchéité (bâche, argile, ciment…). Je recommande pour cela l’EPDM.
- Réfléchir à l’allure des bords de la piscine et choisir sa technique. Le système ECOLAT est très bien pour ne pas voir apparaitre la bâche sur plusieurs dizaines de centimètres.
- Choisir l’emplacement dans le jardin (abrité des vents dominant, pas trop près des arbres, permettant de profiter du paysage…).
- Choisir le type de piscine naturelles que vous voulez (1 ou 2 bassin, système de filtration avec ou sans pompe)
- Définir une forme et une profondeur pour chaque zone (baignade, lagune, zone d’oxygénation).
- Penser au trop plein de votre piscine. C’est l’endroit idéal pour prévoir l’installation de plantes telles que la Gunnera.
- Voir ou vous allez mettre la terre issue du terrassement.
- Étudier les question juridiques (urbanisme, sécurité…). Décider de faire (ou pas) une déclaration préalable de travaux.
- Faire un devis de son projet. Décider ou pas de se lancer.
- Dessiner au sol les limites de la piscine.
- Creuser et évacuer les terres.
- Installer la structure de la bordure.
- Installer le feutre de protection de la bâche.
- Installer la bâche (prévoir beaucoup de copains ce jour là car la bâche est très très lourde).
- Mettre en eau.
- Ajouter la pouzzolane dans la lagune.
- Installer les plantes.
- Après quelques jours (quand le chlore de l’eau municipale s’est évaporée) “ensemencer” la piscine avec quelques litres d’eau prélevés dans une mare propre de votre voisinage (attention de ne pas récupérer des alevins de poisson, indésirables à mon avis dans une piscine naturelle).
- Vous contrôlez votre planning. Vous pouvez faire les travaux à votre rythme.
- Vous êtes obligé de vous impliquer fortement dans votre projet. Votre piscine sera votre bébé.
- Coûts très faibles et essentiellement liés à la bâche (voir prix piscine).
- autoconstruction piscine naturelle
Lorsque l’on pense à installer une piscine naturelle dans son jardin, l’autoconstruction est une possibilité très intéressante pour ceux qui ont un budget limité où qui ont envie de s’impliquer pleinement dans leur projet.
Mon site est initialement consacré à ce sujet mais il me semble qu’un petit guide manquait quand même pour synthétiser mon expérience et vous guider dans les principaux articles de ce site.
Étapes de l’autoconstruction :
Avant de démarrer la construction – définition du projet.
Étapes des travaux en technique EPDM.
Avantages de l’autoconstruction :
Conclusion.
Si vous vous êtes lancé dans la construction et que voulez présentez votre réalisation, n’hésitez pas à entrer en contact avec moi pour voir comment ajouter un article sur piscines-ecologiques.net.
ia
Lorsque l’on pense à installer une piscine naturelle dans son jardin, l’autoconstruction est une possibilité très intéressante pour ceux qui ont un budget limité où qui ont envie de s’impliquer pleinement dans leur projet.
Mon site est initialement consacré à ce sujet mais il me semble qu’un petit guide manquait quand même pour synthétiser mon expérience et vous guider dans les principaux articles de ce site.
Étapes de l’autoconstruction :
Avant de démarrer la construction – définition du projet.
- Se documenter sur les piscines naturelles. Il faut que vous compreniez le fonctionnement des piscines naturelles et que vous vous fassiez votre propre idée sur la question.
- Choisir une technique d’étanchéité (bâche, argile, ciment…). Je recommande pour cela l’EPDM.
- Réfléchir à l’allure des bords de la piscine et choisir sa technique. Le système ECOLAT est très bien pour ne pas voir apparaitre la bâche sur plusieurs dizaines de centimètres.
- Choisir l’emplacement dans le jardin (abrité des vents dominant, pas trop près des arbres, permettant de profiter du paysage…).
- Choisir le type de piscine naturelles que vous voulez (1 ou 2 bassin, système de filtration avec ou sans pompe)
- Définir une forme et une profondeur pour chaque zone (baignade, lagune, zone d’oxygénation).
- Penser au trop plein de votre piscine. C’est l’endroit idéal pour prévoir l’installation de plantes telles que la Gunnera.
- Voir ou vous allez mettre la terre issue du terrassement.
- Étudier les question juridiques (urbanisme, sécurité…). Décider de faire (ou pas) une déclaration préalable de travaux.
- Faire un devis de son projet. Décider ou pas de se lancer.
Étapes des travaux en technique EPDM.
- Dessiner au sol les limites de la piscine.
- Creuser et évacuer les terres.
- Installer la structure de la bordure.
- Installer le feutre de protection de la bâche.
- Installer la bâche (prévoir beaucoup de copains ce jour là car la bâche est très très lourde).
- Mettre en eau.
- Ajouter la pouzzolane dans la lagune.
- Installer les plantes.
- Après quelques jours (quand le chlore de l’eau municipale s’est évaporée) “ensemencer” la piscine avec quelques litres d’eau prélevés dans une mare propre de votre voisinage (attention de ne pas récupérer des alevins de poisson, indésirables à mon avis dans une piscine naturelle).
Avantages de l’autoconstruction :
- Vous contrôlez votre planning. Vous pouvez faire les travaux à votre rythme.
- Vous êtes obligé de vous impliquer fortement dans votre projet. Votre piscine sera votre bébé.
- Coûts très faibles et essentiellement liés à la bâche (voir prix piscine).
Conclusion.
Si vous vous êtes lancé dans la construction et que voulez présentez votre réalisation, n’hésitez pas à entrer en contact avec moi pour voir comment ajouter un article sur piscines-ecologiques.net.