jeudi 02 septembre 2010
Jean Gabin est toujours aussi bon dans ses rôles de patriarche débonnaire et il est bien entouré. C'était l'époque où Henri Verneuil arrivait à concurrencer le cinéma américain en réalisant d'excellents films policiers. Evidemment le film est soutenu par la musique archi-connue d'Ennio Morricone. Et l'histoire ? Elle date peut-être un peu mais j'aime bien l'évasion du début avec son aspect un peu documentaire, pour le reste, il n'y que la fin qui révèle le côté sicilien de Malenese qui est prêt à tout perdre pour venger l'honneur bafoué de son fils.