J’ai des allergies saisonnières. Au mois d’aout, ca atteint un sommet critique. J’ai les yeux de quelqu’un qui aurait fumé une dizaine de pétards en ligne, le nez de quelqu’un qui aurait sniffé une tonne de cocaïne et le cerveau aussi mou qu’un lendemain de veille solide. Heureusement, il y a les antihistaminiques. Je ne me vois pas passer à travers ce mois d’allergies sans médicament, même quand