Marie. : poème "Pervers"

Elle sens bien le regard du pervers,

Cet homme, cette vipere,

Il la mate de la tête au pied,

Cette déesse emplis de beauté,

Mais c'est d'une façon obscene,

Qui fait tourner dans sa tête tout la scène...

Et elle le sent tellement bien,

Alors elle trace son chemin,

Mais le pervers continue son regard appuyé,

ce qui avertit son petit coeur apeuré,

Et elle trace, et elle trace, et elle trace,

Jusqu'à ce que pervers la dépasse,

qu'il disparaisse de son champs de vision,

Avant que ça ne se transforme en agression.

Mais de son regard il commence à lui parler,

lui faisant des gestes et des mots à pleurer.

Et il la siffle tandis qu'il gagne du pouvoir,

et que cette fille s'emplit alors de déséspoir,

Car elle est seule et il fait noir,

cette bataille elle ne la gagnera pas ce soir...

Elle se retourne, lui lance un regarde et crie,

Et lui, conscient d'enfin reussir sourit,

Il s'approche et ose la toucher,

Cette vipère qui compte l'embrasser.

Quand surgit du coin un groupe de filles,

habillés elles aussi en talons aiguilles.

Elles conaissent toutes la même galère,

et par leur majorité elles vont abattre ce pervers....

Oui, il y en aura certainement un prochain,

Mais pour l'instant elles peuvent poursuivre leur chemin

Et crier à tut tête leur liberté,

Leur conviction et leur personnalité.