Je sortais du Jeu de Paume, et, bien sûr, je décidai d'aller voir l'Arbre des Voyelles, de Giuseppe Penone. Bien que cela soit impossible, cet arbre me semble avoir grandi. Sans doute, ce sont les cinq arbres qu'il nourrit qui grandissent, et la végétation qui l'entoure crée des illusions d'optique. Et, me retournant, j'ai vu ces autres bronzes, de Germaine Richier, qu'elle a désignés sous le titre de L'Echiquier.
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