Afrique, terre de Cobaye pour les industries pharmaceutiques

Publié le 31 août 2010 par Rokia
Ce sont des Ong africaines écoeurées qui ont tenu à attirer l’attention des internautes sur un fait plutôt hallucinant quand même. Inoculer un virus de sida à Douala à des prostituées. Douala est la plaque tournante du Cameroun. Ce n'est qu'une histoire de temps avant que ce virus ne se répande dans tout le pays...
“Il est presque minuit, et nous venons de visualiser un reportage hallucinant sur la deuxième chaîne de télévision française. Depuis le mois de Septembre 2004 un laboratoire américain du nom de GEDEAD s'est implanté à Douala pour (officiellement) tester un médicament 'préventif' du nom de VIREAD sur des jeunes camerounaises saines ou séronégatives.
A raison de 4 euro par mois en plus d’examens médicaux gratuits et une promesse de prise en charge en cas de contamination, les filles sont encouragées à n'avoir que des rapports sexuels non protégées avec des partenaires multiples. On leur ment que ce fameux VIREAD les protège, que c'est un vaccin et qu'elles ne pourront plus jamais être contaminées. En plus, elles auront contribué au progrès de la science.
Le but (toujours officiel) de cet essai est justement de voir si le fameux viread protège. Donc après avoir absorbé cette pillule sans du tout savoir ce qu'elle contient, les filles sont livrées à la nature et reçoivent 4 euros par mois lorsqu'elles viennent se faire tester mensuellement pour le Sida et pas pour les autres Mst tout aussi graves comme les hépatites et autres maladies virales...
Officiellement, 400 filles volontaires et pas informées du tout ont ainsi été recrutées par un camerounais ayant reçu une somme de 800 000$ de ce labo américain. Beaucoup de ces filles ayant déjà été contaminées, ont été purement et simplement abandonnées dans la nature (témoignage à l'appui).
Toujours selon la source, un responsable du ministère de la santé déclare sans aucune crainte de choquer que son poste a été crée après l'implantation de ce laboratoire. Donc il n'a pas pu empêcher cela et il ne peut interdire ce test. De tels tests se passent actuellement dans plusieurs pays pauvres tels que Haiti, Jamaique, République Dominicaine, Cambodge et d'autres pays africains,
Nous crions de douleur face au sentiment d'impuissance qui nous envahit devant notre petit écran d'ordinateur.
La seule réaction que nous puissions avoir est d'envoyer ce mail à tous ceux dont nous connaissons l'adresse électronique. Si vous ressentez la même chose que nous, nous vous prions d'envoyer ce mail à tous ceux qui vous sont chers.. Peut-être arriverons-nous à informer un grand nombre de personnes...Faites attention à vous et sensibilisez vos familles!”