Concrètement, cette restriction était synonyme de peine de mort pour tous les enfants ayant besoin d’une greffe (car on ne transplante un organe que sur une personne approximativement du même âge). Certaines familles japonaises allaient jusqu’à quitter le pays pour se rendre en Europe ou aux Etats-Unis, afin de permettre à leur enfant de bénéficier d’une greffe de coeur ou de rein.
Le Japon est souvent considéré comme en retard par rapport à l’Europe dans le domaine de la sécurité sociale. Nos lois européennes sont vues comme plus modernes par la plupart des japonais. Cette loi marque-t-elle le début d’une mise à niveau ? Pas à pas, Le Japon rattrape son retard…