Et puis, il y a les enfants. Ils sont partout dans les rues. Totalement libres d'aller et de venir à leur guise, ils se sont appropriés la cité, devenue gigantesque terrain de jeu. Reykjavik n'est pas Paris. L'apparition de Jón Gnarr, l'acteur-clown-musicien-politicien et nouveau Maire rebelle de la capitale Islandaise, me le confirme. Pistolet de départ de course à la ceinture, l'homme n'hésite pas à poser sans complexe et avec bonne humeur pour les admirateurs autochtones qui le lui demandent. Il n'y a ni gardes du corps, ni policiers. Jón, il est vrai, n'est pas non plus Nicolas.Belle journée que ce cette journée-là.Ma fille n'a pas gagné sa course.
Mais l'essentiel, une fois encore, était ailleurs.