Un nouveau métier alliant durable et souvent tourisme est en train de voir le jour, celui de meneurs de chevaux territoriaux. Après avoir longtemps été anecdotique, la demande des villes explose en effet pour utiliser les chevaux dans des animations, des services hippomobiles, du débardage ou autre au service des collectivités. Aujourd’hui, le milieu équin ne peut pas proposer hommes et chevaux en quantité et en qualité suffisantes. Une nouvelle formation sera lancée officiellement lors du prochain congrès des chevaux territoriaux les 23 et 24 octobre prochains, sur l’hippodrome de Deauville-Clairefontaine.
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