Je me sens bien. Ma mère, mon fils et l'arbre protecteur. L'amour, la vie, la transmission. La maison, l'abri, la chaleur. L'idée rassurante que l'amour existe, que la vie vaut d'être vécue et qu'il y a tant et tant à écrire, à découvrir, à l'abri des bras de ma mère.
Cet été j'ai fait une petite régression. J'avais besoin de mes parents. Un besoin vital. C'est la source ! Savez-vous seulement combien vous êtes encore une source jaillissante ! vous qui venez de passer la ligne des soixante ans avec le regard en arrière, sachez que vous nous portez toujours vers l'avenir. Je vous aime.