Hommage (2)

A l'heure où les universités d’été du PS s’achèvent... Rendons hommage à celle qui en fut la petite étoile incontestée : Martine Aubry !

Oui, rendons hommage à ce symbole de la pugnacité dont on dit : "Si François Hollande avait des couilles, on l’appellerait Martine !" Cet acharnement, cette hargne, ce coup de menton provocateur, on ne les retrouve que chez le Catcheur André le Géant ! Catcheur dont elle a d’ailleurs adopté l’obstination à ne porter que des coups retenus qui ne blessent pas l’adversaire, la salle manie de ne jamais être dans les cordes, et le résultat final de plier en deux ses concurrents à chaque fois qu’elle est dans une manchette ! Car à l’heure où les sondages donne le PS grand favori devant l’UMP, la grande question se pose pour les socialistes : Qui sera le meilleur candidat pour ne pas gagner les prochaines élections Présidentielles, sans les perdre ?

C’est une question de non sens, bien sur, mais le non sens est à l’humour ce que le Partie Socialiste est à la joie de vivre et Martine Aubry à Pierre Mauroy : Une forme allégée ! Car de l’humour caché, n'a t'elle pas choisi lenouvel hymne du PS  :

«Il est temps/ Il est l'heure/ Il est temps de tourner la page/ Passez partout notre message/ Il est temps de choisir/ L'histoire qu'on veut écrire/ »

En lisant ces paroles, on regrette que les universités du PS aient lieue à La Rochelle et non pas de Nantes à Montaigu, ce qui aurait apporté moins d’humour mais plus de richesses dans les rimes !  

Disons le, le rire est la face cachée de Martine ! Alors finissons cet hommage par ce bon mot qu’on lui prête : Quand un journaliste lui a fait remarquer que les écologistes profitaient des querelles socialistes, elle a répondu : Si grâce aux éoliennes, les écologistes peuvent faire du courant avec du vent, grâce aux primaires, les Socialistes vont faire du vent... Avec leurs courants ! Sacrée Martine !