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L’argent…

Publié le 29 août 2010 par Politicoblogue
L’argent…

Argent

Dans mon texte, Vivre libre ou disparaître, j’explique que chacun des items qui composent une organisation a un effet sur l’ensemble.

Les décisions prises par les élites ont un impact sur les autres élites, sur l’ensemble des citoyens et de leurs actifs.

La notion de « L’ARGENT » est très importante dans nos sociétés, il est donc très important de savoir d’où il vient et qui en définit les règles.

Vous comprendrez un peu plus les interactions entre les élites économiques, politiques et sociales, impliquées par cette notion importante, « L’ARGENT ».

La notion de l’argent, de sa création et de la croissance aura un effet marqué sur les facteurs économiques, politiques et sociaux.

Le papier monnaie ou les pièces en circulation ne sont  qu’une partie de l’argent disponible, la plupart de l’argent est virtuelle et il se crée  continuellement du nouvel argent qui n’existe pas sous forme de papier ou de pièces.
L’argent peut être un agent de développement ou de destruction selon les objectifs et les politiques de l’état, nos politiciens ou de la conscience des citoyens à défendre leurs droits. Les citoyens doivent apprendre qu’ils ont un pouvoir majeur sur l’état, l’économie, la société et leur propre avenir, à condition de savoir comment et de s’en occuper au lieu de déléguer.

Toutes les économies sont basées sur le pouvoir de créer de l’argent. Pas nécessairement de l’argent papier, mais surtout virtuel, de l’argent qui n’existe pas encore mais que vous et moi allons contribuer à créer.

Les banques et l’état utilisent la capacité des emprunteurs à régler leurs dettes pour accroître leur pouvoir et leur domination. Ils prêtent de l’argent qu’ils n’ont pas, vous verrez comment dans le vidéo qui suit.

Notre capacité individuelle à rembourser nos emprunts est le garant du fonctionnement de l’économie.

En remboursant nos emprunts personnels, nous créons une valeur ajoutée par notre travail (de l’argent qui n’existait pas), par exemple, en rénovant votre maison, l’état reconnaît une valeur ajoutée et vous crée une valeur arbitraire, une dette appelée « taxe », que vous devrez payer indéfiniment d’année en année.

Le nouvel argent doit être réinvestit dans la croissance économique solide pour être matérialisé, c’est ce qu’a fait le Québec dans les années soixante en construisant l’Hydro-Québec par exemple. Sans cette matérialisation, l’économie finit par s’effondrer. La caisse de dépôt avait été créée par Pariseau justement pour assurer cette croissance, celle de l’Hydro-Québec par exemple, ce qui permettait de matérialiser l’argent virtuel. C’est ce que l’on appelle le phénomène du bras de levier.

Sans matérialisation, cet engrenage fera en sorte que la dégringolade des prêts hypothécaires vécus aux États Unis va se répétée ailleurs, l’économie n’étant pas en mesure de créer de nouvelles richesses, il s’en suit une rupture dans la chaîne des emplois, on appelle cela vivre collectivement au dessus de ses moyens.

Vous et moi, sommes responsables de la richesse de notre économie, de notre état et de nos banques.

Nous sommes responsables de la puissance et du pouvoir de ceux qui les diriges.

Au Canada, le pouvoir des banques est  soumis aux règles de l’état via la banque centrale. Si ce pouvoir n’est pas appuyé par de nouveaux actifs économiques, il arrive un moment ou l’économie s’effondre, c’est ce qui devrait arrivé au Québec après le départ de Charest. Plusieurs milliards que nous aurons besoin pour nous relever après son départ auront été perdus dans des placements à hauts risques à l’étranger, notre économie change de main. Si ces milliards avaient été investis au Québec, ils n’auraient pas été perdus mais recyclés sous une autre forme dans notre économie.

M. Charest aura privatisé l’Hydro-Québec et liquidé la Caisse de dépôt parce qu’on aura cessé de croire en la démocratie en lui donnant le pouvoir de liquider nos actifs, les affaires à la Norbourg et à la Jones feront figures de fait divers à côté de ce qui nous attends.

À moins d’une révolution intellectuelle des Québécois, nous serons bientôt l’équivalent des nègres d’Amérique.

On peut tous ensemble s’en sortir, à condition d’apprendre comment cela fonctionne.

Visionnez ce vidéo agrémenté de dessins animés, vous allez comprendre beaucoup de choses. L’état se garde bien de mettre ce genre d’informations dans les programmes scolaires.

L’état, géré à la façon Charest,  fonctionne en générant une économie souterraine, équivalent du travail au noir des citoyens, comme le blanchiment d’argent, transfert d’actifs et de propriétés au privé, du retrait de territoire par l’approche commune. Tout cela s’est accéléré après le vol du référendum de 1995.

La fédération a parachuté au Québec un homme de main pour détruire notre culture d’abord et notre économie ensuite. Les Québécois ne l’on pas vu venir et ils l’ont élu.

L’ économie du Québec change de mains et nos actifs, la Caisse de dépôt par exemple, sont liquidés au privé, ou encore,  mis sous tutelle en s’emparant de nos territoires au profit de l’état Canadien au lieu de Québécois.

Les actifs de l’Hydro se trouvant dorénavant en territoire fédéral par transfert de propriété territoriale vers les Amérindiens dont le Canada détient la tutelle. Nos actifs de l’Hydro deviendront sujet à expropriation par héritage de la tutelle qu’elle détient sur les amérindiens.

Vous et moi allons tous ensemble perdre le contrôle sur des centaines de milliards qui assuraient notre bien être à long terme. On va nous rendre dépendant de l’économie canadienne.

L’état, tout comme le banquier, via les impôts, crée une valeur ajoutée virtuelle de vos actifs et en augmente la valeur réelle.  L’état vous crée une dette additionnelle générée par votre travail que vous devrez payée comme s’il s’agissait d’un emprunt bancaire éternel.

Le citoyen moyen est continuellement maintenu dans un état de dépendance à la limite de sa capacité de payer.

Dans nos sociétés, le citoyen est pris en otage par les prêteurs. Si le citoyen arrête d’acquitter ses dettes, la banque saisira la valeur ajoutée par le citoyen concerné.

En plus de perdre son emploi, le citoyen perdra aussi la valeur ajoutée qu’il a créée par son travail.

Les prêteurs et l’état gagnent toujours sur tous les cotés.

Cette situation va durée aussi longtemps que les citoyens ne comprendront pas l’importance qu’ils occupent dans l’organisation de cette machine appelée « DÉMOCRATIE », décrite dans le texte «Vivre libre ou disparaître ».

Même les états finissent par utiliser le jeux de l’argent entre eux, lorsque c’est l’état qui le fait, il le fait toujours au nom du citoyen qui vit déjà à crédit via ses emprunts personnels. Si l’états emprunte pour couvrir les déficits du système de santé ou pour payer les pensions, on emprunte pour payer l’épicerie, c’est vers cela que nous dirige présentement le gouvernement Charest.

En résumé :

Notre élite politique québécoise actuelle s’attaque directement à la notion de l’argent afin de la faire travailler contre nous afin qu’elle profite à l’ensemble canadien et non plus Québécois.

Les revenus de nos entreprises d’état seront divisés entre 30 millions d’individus au lieu de profiter aux 7 millions de Québécois qui les auront créés.

Les Québécois perdent le contrôle et la gestion de leurs actifs construit par nos pères et grand-pères.

Par l’approche commune, le Québec perd le titre de province canadienne, il devient un territoire fédéral. Les Québécois perdent leur droit d’égalité et le droit de siéger à côté des autres provinces afin de modifier la Constitution qui les régissent.
Un citoyen qui ne vote pas, n’existe pas! il est important de le renseigner.

http://vimeo.com/1711304

Bon vidéo, vous allez aimer…

Jean-Pierre Plourde.

http://saglacweb.blogspot.com

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