Coraline, une héroïne extra (ordinaire).
Au début, c’est un livre de l’écrivain anglais Neil Gaiman, que j’avais beaucoup aimé, un conte noir, qui faisait penser à un mélange réussi entre Lewis Carroll et Edgar Allan Poe. D’ailleurs le livre a remporté plusieurs prix : le Prix du meilleur Roman Court, le Prix Nebula du Meilleur Roman Court, le Prix Bram Stoker de la meilleure oeuvre pour jeunes lecteurs et été salué par Philip Pullman en personne.
Il était une fois une petite fille qui s’ennuyait auprès de ses parents débordés… Elle trouva une porte qui la mena à une sorte de vie parallèle dans laquelle tout est pareil, en mieux… Enfin, presque pareil… ses “parents” ont des boutons à la place des yeux…
Ce livre est une réflexion sur le rêve, le fantasme du “mieux”, l’illusion du bonheur…
L’adaptation cinématographique est signée Henry Selick (qui avait réalisé sur L’Étrange Noël de Mr. Jack…) et a obtenu le Cristal du long-métrage au Festival International du film d’Animation à Annecy. J’adore l’esthétique étrange et réaliste à la fois, et Coraline y est totalement craquante.
Vous avez ci-dessu un extrait, mais vous pouvez en voir trois autre et la bande-annonce, et plein d’autres choses encore sur cette page de CommeAuCinéma.
Jeu de briques
Snake
Pacman
Bubble