Au début ça m'a fait sourire, bien sûr...
Et puis j'ai pensé à Bernadette qui me ramenait systématiquement, sables, cailloux ou coquillages de ses nombreux voyages, faisant ainsi sourire son entourage quelque peu moqueur, jusqu'à ce que la mort ne la disperse en cendre au sommet des Pyrénées, pour un dernier grand voyage. Bernadette fait partie des gens que j'espère retrouver un jour sur un grand parking à moitié plein, à moitié vide, où parents et amis m'auront réservé une place, m'accueillant et venant aux nouvelles...
Parking de l'école de Condat sur Vézère.