de Caryl Férey
« … Le foot me rend malade mais je regarde quand même : c'est comme les fesses, on peut pas s"en empêcher. Je suis un passionné, que voulez-vous? Chaque année, je me tiens au garde-à-vous des grands rendez-vous européens, avec une sourde haine contre les Ritals (l’italien est truqueur), les Rosbifs (jeu engagé mais énervant, on ne sait pas pourquoi) et surtout les Chleuh (au-delà du souvenir de la finale honteuse contre le Bayern Munich, c’est la corporation entière qui dérange : un bon Chleuh est un Chleuh mort). En ce qui concerne les autres pays, ça va - généralement, on gagne… »
Editions LA BRANCHE