Devant l’immense succès de l’iPad, qui fait déjà tout ce que peut faire l’iPod touch, que reste-t-il au petit baladeur d’Apple pour ne pas succomber sous le poids écrasant de son grand frère ? Il possède bien sûr l’avantage de la portabilité. Un argument guère convaincant, il faut l’admettre, pour l’utilisateur qui peut maintenant regarder ses films sur un écran de 10 pouces ou naviguer sur le web sans pincer constamment la surface de l’appareil pour agrandir du texte pas toujours lisible.
S’il faut à nouveau poser la question de la survie de l’iPod touch, la réponse se trouve peut-être dans cette rumeur qui circule depuis quelques jours dans les couloirs labyrinthiens de la toile et selon laquelle le baladeur à écran tactile serait désormais pourvu d’une antenne lui permettant de se connecter à un réseau 3G. Il s’agirait là d’une évolution tout à fait logique pour un appareil trop souvent tributaire de la faible densité des réseaux WiFi en zone urbaine, ou pire, dans les lointaines campagnes, et qui ne peut franchir le seuil acceptable de la mobilité, telle qu’on la conçoit aujourd’hui.
Toute la vérité, rien que la vérité, mercredi prochain