" Chaque fois que se produit un événement accessible à la vulgarité d'esprit du journaliste philosophe, c'est-à-dire un événement généralement politique, les journalistes philosophes sont persuadés qu'il y a quelque chose de changé en France."
Ce qui était vrai du temps de Proust l'est encore davantage aujourd'hui car nos journalistes confondent trop souvent philosophie et marketing. Avec pour infranchissable horizon les mèches grisonnantes de monsieur Lévy et la curée anti freudienne de Michel Onfray, comment voulez-vous que l'intelligence s'ouvre un chemin ? De toute façon, de nos jours, les couples Drucker-Baroin, Kouchner-Ockrent, D.S.K.- ?et maintenant Pulvar-Montebourg illustrent bien que politique et journalisme barbotent dans la même soupe de l'immédiateté, sans mémoire aucune, sans projection aucune...
J'ai un trou pour la meuf de dsk ; ça me rassure.