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En ce cinquième anniversaire de l'ouragan Katrina et alors que le fleuve Indus continue sa destruction à travers le Pakistan, il est difficile de ne pas faire le lien entre ces deux catastrophes et de se rendre compte à quel point les petites gens peuvent devenir « invisible » lors de tels désastres. Dans les deux situations, les chefs d'état respectifs sont incapable de communiquer avec toute cette misère et sont tout à fait démunis pour pratiquer la compassion qu'ils prétendent posséder. Leurs priorités sont ailleurs, comme de s'enrichir à titre personnel et de s'assurer que leurs fidèles supporters sont parfaitement pris en charge. Ah oui, j'oubliais, leur autre priorité est de bien s'assurer que leur arsenal nucléaire est du dernier cri et parfaitement fonctionnel ...