En sillonnant les rues de Yaoundé, difficile de louper ces vendeurs et vendeuses portant en équilibre un seau rempli de bouteilles de jus de gingembre, familièrement appelé djindja, d'oseille (foléré) ou de lait caillé (kossam). D'autres promènent leur marchandise dans des brouettes, à défaut d'avoir un emplacement permanent où pratiquer leur commerce. Et quand le soleil tape très fort, même le fonctionnaire sanglé dans un costume n'hésite pas à interpeller ces vendeurs, ambulants pour
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