Il a ajouté "C'est à nous (les Africains) de redresser la situation"
Il a indiqué avoir rompu toute relation avec les Églises épiscopaliennes, branche anglicane, du Canada et des États-Unis qui autorisent les homosexuels dans le clergé.
N'est ce pas plutôt les humains qui souffrent, qui devraient être le souci de cette Église?
Monseigneur Henry Luke Orombi a souligné que les divergences sur la question de l'homosexualité divisent d'ores et déjà la communion anglicane.
Il a dit "La fracture est déjà là, dans les faits. Ce n'est pas la peine de l'annoncer".
Il a déclaré "Nous devons apprendre à écouter ceux que nous guidons et servons pour découvrir ce que sont leurs espoirs, leurs besoins, leurs troubles. Nous devons les aimer et prendre en charge leur humanité dans toute sa diversité".
Il a ajouté "Nous ne pouvons prétendre que nous savons toujours mieux et que nous avons toujours la bonne réponse à chaque question".
La Communion anglicane, qui compte 77 millions de fidèles dans le monde, est fortement ébranlée par des divisions sur l'ordination des homosexuels.
L'Église d'Angleterre n'est pas épargnée par la crise au point que l'archevêque de Canterbury s'était inquiété au début de l'année du "chaos" la menaçant.
Elle a décidé d'ouvrir ses portes aux communautés anglicanes qui s’opposent aux évolutions de leur Église, comme l'acceptation de l'homosexualité, les bénédictions des couples homosexuels, mais aussi la consécration de femmes, en leur garantissant l'intégration sous certaines conditions de leurs prêtres mariés et le maintien de leur liturgie.
Seigneur, pourquoi toujours le rejet?