Puremagillla : poème "Paradis Artificiel"

Par Illusionperdu @IllusionPerdu

IL allongea sa belle sur le sable fin
LA pencha pour s'enivrer de son parfum
GRATIFIA son cou de tendres baisers
ET bercé par son souffle léger...
ENTREPRIT de la déshabiller.

DE toutes les femmes qu'il avait connu
LA plus désirée elle le fût sans nul doute
VIOLER ses lèvres ingénues
Etait son souhait quoiqu'il en coûte...

Déjà la miction avait fait son effet
Et notre étalon commençait son méfait
L'extase fût de courte durée...
Tout de même assez pour le combler.