Vois la couleur de ce sang,
qui coule de ses veines,
c'est pour toi, qu'il se répand,
pleurer ce n'est plus la peine,
il fallait y réfléchir avant.
On va surement me traiter de lâche,
de faire coupure, quand tout me lâche,
mais de ma vie, envie de faire relâche,
quand même son or pur, je le gâche.
T'es vraiment une belle ordure,
et les mots, je les mâche,
quand d'ici bas, mon âme s'arrache,
toi et moi, savons bien ce que ça cache.
Tandis que je m'envole vers un autre azur,
je suis sur que déjà, il te rassure,
à te dire, que même si l'épreuve est dure,
tu n'es pas responsable de cette tâche,
beau parleur, auquel déjà tu t'attaches.
C'est quand même toi, qui dans le contrat,
à mis un grand coup de hache,
sans même craindre que cela me fâche,
mais le sang qui se répand la,
c'est pas de la gouache,
et pleure sur ce corps endormi, sous cette bâche.
PAEPEGAEY Michel