«Une fois mon travail de composition effectué, je refile les chansons à Louis-Jean. Elles passent alors dans son essoreuse à rouleaux, confie Gilles Bélanger. Le deuxième album nous prouve que l’on peut rocker Miron avec bonheur et fierté.» Ce disque, musicalement plus éclectique que le premier, évoque autant le cirque déglingué de Tom Waits que le blues et le country. Peut-être parce l’aspect militant indépendantiste de Miron est davantage mis en avant dans cet opus que dans le précédent.
Extrait de l'article "Douze pour un et un pour tous" de Claude André / 7Jours 2010-08-24