Parmi les neuf autres projets présélectionnés, on trouve :
- La région Provence-Alpes-Côte-D’azur (var-solidarite.fr)
- Le Sénat (senat.fr)
- Rennes métropole et la ville de Rennes (data.rennes-metropole.fr)
- Le Médiateur de la République (lemediateuretvous.fr)
- La ville de Bordeaux (atelier21.bordeaux.fr et flashvote par SMS)
- L’association Place Publique (place-publique.fr)
- L’association Concert-Urbain (dring13.org et tour-a-tour.org)
- La région Picardie (picardie-en-ligne.fr)
- La Ligue contre le Cancer (équipe de France contre le cancer)
Chaque collectivité territoriale dispose d’un grand nombre d’informations complexes pour le simple citoyen. Depuis quelques années, de nouveaux usages au delà de leur utilisation en interne ont fait leur apparition. Certaines données publiques sont partagées pour permettre l’accès aux données et leur réutilisation par les usagers. Ainsi certaines villes décident de mettre à disposition les données cartographiques ou leurs annuaires en ligne. Ces données d’utilité publique sont alors disponibles pour la création de nouveaux services et usages.
C'est le cas de Rennes, où la métropole, la ville et l’exploitant du réseau de transports ont annoncé en début d’année que leurs données publiques seraient désormais accessibles et exploitables via leur API. Ainsi une dizaine d’applications pour des téléphones ont déjà été développées par des utilisateurs ou des entreprises pour proposer de services innovants. Ces nouveaux services de la vie quotidienne répondent aux attentes des utilisateurs, comme par exemple sur l’heure du prochain bus ou encore connaître la station de vélo la plus proche grâce à un simple téléphone. Parmi ces applications, on trouve notamment Roue Libre, l'appli que JCDecaux avait voulu interdire pour les Velib de Paris... Parce qu'elle utilisait sa base de données qui n'est ni ouverte, ni utilisable. La ville s’apprête à lancer un concours pour favoriser le développement d’applications autour de ces données.