- Otto est beau !? Ou Otto a le postérieur le plus incroyable que la planète ait enfanté ?- T'es MALADE ?! On va pas commencer notre article comme ça !!! Ça n'a rien à voir avec le sujet ! On s'en fout qu'il soit beau ou pas !- Ouais, mais si tu parles d'abord de son joli fessier, eh bien plein de gens voudront lire la suite.Je me tape le front avec la main en soupirant…Oui, voilà comment on « brainstorme » à la rédaction. C'est toujours difficile de commencer un article, mais bon là, c'est abuser... quoi que... Il est beau Otto, comme ses photos !!! Otto Vankerkhove, on le connaît depuis un bail. Déjà pour avoir travaillé pour le make-up club de Gent, mais surtout pour l'avoir croisé plus d'une fois à la grande époque des « FanKlub » à Anvers. Il a toujours eu un style bien à lui. Un amour inconditionnel pour des looks plutôt street, mais toujours épinglé comme s’il allait dans un country-club des Hamptons. C'est d'ailleurs toujours pour ce souci d'une allure indéniablement raffinée avec des pièces qui ne le sont pas à la base qu'on l'admire. Mais le pire (ou le meilleur), c'est qu'Otto Vankerkhove est en plus une crème. Toujours souriant, curieux, avenant... On ne se demande pas pourquoi, aujourd'hui, ses photos streetstyle respirent une beauté sereine. On le suit depuis qu'on a su qu'il avait son blog et on n’a pas été déçus : c'est notre Ottorialist. Un coup de foudre ! Des photos uniques avec un « brin de je ne sais quoi ». Elles sont tellement différentes de tout ce qui se fait : un travail de la lumière surprenant et à chaque fois cette espèce d'effet « vieilli »... ou non... plutôt intimiste. Quelque chose qui nous fait dire qu'on y est aussi dans ces photos. Comme si on était à côté de lui et que tous les modèles qu'il « shoote », connus ou non, étaient un peu nos copines. Voilà, on a l'impression d'être intimes avec ses modèles. C'est ça, la force première du bel Otto : nous donner une approche privée et confidentielle du modèle. Ça rend la chose plus excitante, avouons-le. Bref, on vous conseille vivement d'aller jeter un coup d'œil, c'est le nouveau « sartorialist ». Une version plus moderne, plus underground. En tout cas, nous on kiffe et on attend avec impatience une future collaboration. Otto et ton postérieur, si tu nous lis...
- Otto est beau !? Ou Otto a le postérieur le plus incroyable que la planète ait enfanté ?- T'es MALADE ?! On va pas commencer notre article comme ça !!! Ça n'a rien à voir avec le sujet ! On s'en fout qu'il soit beau ou pas !- Ouais, mais si tu parles d'abord de son joli fessier, eh bien plein de gens voudront lire la suite.Je me tape le front avec la main en soupirant…Oui, voilà comment on « brainstorme » à la rédaction. C'est toujours difficile de commencer un article, mais bon là, c'est abuser... quoi que... Il est beau Otto, comme ses photos !!! Otto Vankerkhove, on le connaît depuis un bail. Déjà pour avoir travaillé pour le make-up club de Gent, mais surtout pour l'avoir croisé plus d'une fois à la grande époque des « FanKlub » à Anvers. Il a toujours eu un style bien à lui. Un amour inconditionnel pour des looks plutôt street, mais toujours épinglé comme s’il allait dans un country-club des Hamptons. C'est d'ailleurs toujours pour ce souci d'une allure indéniablement raffinée avec des pièces qui ne le sont pas à la base qu'on l'admire. Mais le pire (ou le meilleur), c'est qu'Otto Vankerkhove est en plus une crème. Toujours souriant, curieux, avenant... On ne se demande pas pourquoi, aujourd'hui, ses photos streetstyle respirent une beauté sereine. On le suit depuis qu'on a su qu'il avait son blog et on n’a pas été déçus : c'est notre Ottorialist. Un coup de foudre ! Des photos uniques avec un « brin de je ne sais quoi ». Elles sont tellement différentes de tout ce qui se fait : un travail de la lumière surprenant et à chaque fois cette espèce d'effet « vieilli »... ou non... plutôt intimiste. Quelque chose qui nous fait dire qu'on y est aussi dans ces photos. Comme si on était à côté de lui et que tous les modèles qu'il « shoote », connus ou non, étaient un peu nos copines. Voilà, on a l'impression d'être intimes avec ses modèles. C'est ça, la force première du bel Otto : nous donner une approche privée et confidentielle du modèle. Ça rend la chose plus excitante, avouons-le. Bref, on vous conseille vivement d'aller jeter un coup d'œil, c'est le nouveau « sartorialist ». Une version plus moderne, plus underground. En tout cas, nous on kiffe et on attend avec impatience une future collaboration. Otto et ton postérieur, si tu nous lis...