Évidemment, la sortie le 2 septembre 2010 du livre (La Face Cachée du Vin) que j'ai co-écrit avec Monsieur Septime (http://www.mistelle.fr/) pour François Bourin Éditeur est une bonne occasion d'illustrer le débat.
2nde de couv' : pub d'un Bordeaux GCC comme d'hab'.
Page 3 : Autosatisfaction de Denis Saverot (redac' chef) qui démontre (au contraire de ce qu'il affirme mais il suffit de savoir lire pour comprendre) qu'il est bien (par la RVF) un agent de la spéculation autour de certains vins et qu'il justifie ainsi les bonnes affaires supposées des FAV de la GD.
Page 4 et 5 : un article ? Non ! Un publi-communiqué ! C'est écrit dessus, pas de publi-reportage déguisé sur ces deux pages, juste une déontologie piétinée (notes de la RVF mises en avant, présentation façon dossier RVF, sujet identique au dossier principal...).
Page 13 : dans une interview (dont l'intérêt d'un approfondissement mériterait un dossier complet), Pascal Delbeck place une vérité que je souligne ici : "Quand les dégustateurs ne jugeront plus 200 vins par jour, les vignerons cesseront peut-être de formater leurs vins". (je ne vais pas détailler car ce n'est pas le sujet majeur de cette lecture "publique" mais c'est abordé dans le livre La Face Cachée du Vin).
Page 17 : merde, on apprend que les éditions Albin Michel souhaitent mettre un terme à la publication du guide Dussert-Gerber... Comme dirait Patrick (P.D.-G.) : "en toute confiance" !
Page 24 : le bon plan de Raoul ! Raoul Salama nous a trouvé un "bon plan" : Dom Pérignon 2000 servi sur table (sans l'entraîneuse) à 120 euros. ^^
Faire une pause pour éviter un enchaînement de fous rires qui peut nuire gravement à la santé ; en profiter pour se servir un verre de vin non issu de l'agriculture chimico-intensive ni d'un rayon de supermarché ou d'un franchisé quelconque.