Tout a commencé à l’aéroport où d’un geste de la raquette, l’égérie Kinder avait pu finalement arracher sur le fil sa barre chocolatée et l’aventure s’était poursuivie à la boulangerie avec la complicité de la tenancière des lieux qui avait cherché à refourguer sa camelote à une cliente plutôt que d’arracher au sportif français sa précieuse dose de sucres rapides.
Aujourd’hui, je m’inquiète légitimement pour le régime alimentaire du leader ou approchant du tennis français. En effet, nous découvrons dans le spot, Jo-Wilfried dans son intérieur très sobre, le jeune homme s’apprête à prendre une collation et découvre, mazette, qu’il ne lui reste qu’un Kinder Bueno. En revanche, son placard est plein de
Plus sérieusement, et au risque de nous faire passer avec ma moitié qui va prochainement s’indigner des méthodes de l’industrie agro-alimentaire, pour des intégristes de l'alimentation, ce que la confection d’un fabuleux flan de coco au toblerone – oui mais avec du sucre non raffiné – semble d’ailleurs contredire, je m’étonne qu'un sportif par définition sain cautionne ce spot qui fait clairement la promotion du sucre bien dégueulasse auprès des petits enfants déjà bien assez gras comme ça.
Les sportifs pourraient mieux choisir leur grande cause, même si clairement les produits Kinder comptent des tas de grands verres de lait dans leurs recettes, je ne l’oublie pas.
De mon côté, comme je vomis Jo-Wilfried Tsonga, j’ai ralenti sur les Kinder Bueno auxquels je préfère décidément les Kinder Joy.