La première phase ridicule de la nouvelle campagne publicitaire de l’ UBS est en ligne : à cela il faut répondre que tant que la banque continuera de se comporter comme elle le fait, il ne faut surtout pas lui accorder le moindre crédit, si on peut dire.
Même apuré son bilan est triste à mourir, et surtout son esprit n’a pas changé : pire, elle se lance maintenant dans la Formule 1, le royaume de la démesure financière, et continue de faire joujou avec les produits dérivés les plus débiles et le cours des matières premières.
Les key-accounts l’ont bien compris qui continuent de retirer leurs billes de ce château bancal des miracles.
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