Lasse de la petitesse du village d’Avignon, de la chaleur insupportable et d’un mal de pieds chronique à force de trop marcher dans les rues pavées, je décide de prendre une journée loin de la foule de festivaliers pour aller dans les vignobles de la région. Après de nombreuses recherches, je déniche un parcours sur les vins assez intéressant, pas trop touristique, offert par un expert en vin!
Châteauneuf du Pape. Château Mont-Redon. Oui. Oh que oui!
Panorama des vignes et le Mont Ventoux en arrière-plan.
Les vignes et le sol particulier de Châteauneuf du Pape : le sol est recouvert de galets! Pour protéger les vignes des parasites et pour éviter que la récolte soit affectée, devant chacun des rangs de vigne se trouve un plan de rosier. Les roses étant plus fragiles que les plans de vignes, elles sont attaquées en premier par les parasites et permettent ainsi au vigneron d’intervenir à temps pour sauver les raisins. C’est tellement poétique…
Bon ok… je n’ai pas bu ce Châteauneuf du Pape 1952, mais un châteauneuf blanc, un très beau rouge 2006 et un vieux marc. Franchement le paradis dans ma bouche!
Gigondas. Pour vous mettre dans l’ambiance, notre guide François a mis du Puccini : c’était grandiose!
Bacchus, mon fidèle ami… Moulin de la Gardette, 2006. Rien à rajouter. Du plaisir dans ma bouche! Je n’ai pu résister à l’achat d’une bouteille…
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Après Avignon, je quitte pour Manchester. Je sais, j’ai du rattrapage à faire… Je vais tenter de mettre à jour ma vie !!!