On voit des badauds sur des trottoirs, comme partout, des idéogrammes : oui, et puis un sacré foutoir dans les devantures des boutiques, des aliments non identifiés (champignons, coquillages énormes, plantes médicinales parfois) qui sèchent au soleil. L’odeur est forte et gênante, celle de poissons modérément frais, qui se dégage des étals en plein air ou des petits marchés situés dans les caves des immeubles. Un quartier à visiter par curiosité, mais sans plaisir particulier, peut-être même un certain dégoût à voir les canards laqués pendre à leurs crochets, hors de toute vitrine réfrigérée, un lieu où l’hygiénisme étatsunien n’a pas encore imposé sa loi.
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