Il n’a pas aimé les sanctions et le redit. Quelques jours après avoir déjà critiqué les matchs de suspension envers les mutins, Laurent Blanc a encore donné : «C’est très surprenant. La mission d’information (qui a instruit l’enquête sur la grève de Knysna) a été nommée par l’ancien président (Jean-Pierre Escalettes) juste avant son départ, et c’est à son successeur d’en assumer les conséquences, c’est paradoxal ».
Ce n’est que le début.