La foule me demande un compte rendu de notre soirée « de blogueurs », La Queue de la Comète.
Balmeyer avait prévenu qu’il ne pouvait pas venir. Juan s’est excusé ensuite : il a fini trop tard ! Je me demande si je finirai par les connaître ces deux zouaves ! Irène avait dit qu’elle viendrait. Elle a probablement oublié, la bougresse ! Pareil, Julien devait venir. Le zigoto a préféré un meeting de Bertrand Delanoë. Il a des choses qui m’échappent ! Comment peut-on préférer une soirée d’autocongratulation à une soirée avec copains ? Pas de nouvelles des autres blogueurs influents sauf ceux cité par la suite. Je ne les ai probablement pas facebooker assez fort !
Martin est arrivé, mais bien tard, alors que hier soir, il était presque en avance, voulant saluer Jean après le pot organisé par Jean-Luc Laurent, maire du Kremlin-Bicêtre, pour officialiser sa liste aux municipales (moitié MDC, le reste entre les cocos et le PS : ça sent l’accord électoral pour les prochaines cantonales… et les instructions nationales). Ainsi, contrairement à Julien, Martin ne vient en retard quand il n’a rien mais vient de bonne heure quand il a un autre pince-fesses !
Heureusement, il y avait ma copine Fiso, le célèbre Tonnegrande et les duettistes des soirées de blogueurs Eric et Dagrouik. Soit 6 blogueurs car j’étais là aussi. Dans la foule en délire, nous avions le vieux Jacques, Jean, Jim, le gros Loïc, l’ignoble Jacky et j’en oublie probablement.
Le Vieux Jacques, en tant que vieux con serviteur, a servi de punching ball à Eric, Dagrouik et moi. Il ne devrait pas parler politique avec des gogos qui passent leur temps à répliquer dans les blogs !
Les conspirations diverses ont été de bon train… contrairement aux verres vidés par Dagrouik et Eric ! J’ai enfin découvert le secret des blogueurs influents : ils ne modèrent pas les commentaires, juste les consommations.
Excellente soirée donc ! J’ai pu découvrir Dagrouik que je n’avais rencontré qu’une fois mais sans réellement avoir pris le temps de causer. La conclusion de la soirée est qu’il faudrait mettre les patrons au goulag. C'est-à-dire les forcer à vivre quelques mois avec le salaire qu’ils versent à leurs ouvriers ! C’est ce qu’a fait un patron Italien il y a quelques temps. Quand un patron constate le 20 du mois qu’il va falloir manger des pâtes pendant 10 jours, il devient beaucoup plus compréhensif envers ses salariés !
N.B. : Dans ce billet sur Partageons mes âneries, je raconte comment je me suis fâché avec un copain suite à la soirée, ça n’a pas entaché la soirée : la fâcherie a eu lieu le lendemain ! Dans la journée d’hier, je me suis d’ailleurs demandé pourquoi j’avais fait ce billet. Un exutoire peut-être ? Ou une repentance publique pour n’avoir pas compris avant ?
Je ne tiens pas rigueur à ceux qui ne sont pas venus ! Pour ça, il faudrait que je me déplace moi-même quelques fois dans les autres sauteries ! Mais Irène et Julien auraient pu prévenir !