Ils sont pathétiques les dirigeants d’UBS.
Ils pensent qu’à coups de pub et de dizaines de millions (pris sur la quote-part de actionnaires … cette fois, et pas sur celle des clients), ils vont réussir à redorer un blason terni.
Rien n’est moins sûr, et en attendant de voir les résultats de leur campagne tous azimuts, on suggère d’entamer ou de reprendre une relation avec UBS qu’en posant La bonne série de questions, à savoir:
« Que m’offrez vous de moins cher, de plus stable et de mieux qu’ailleurs ? »
Si la réponse est évasive ou balourde, les laisser revenir à la charge en se souvenant qu’ils sont les fossoyeurs du secret bancaire, des assistés étatiques et finalement des escrocs fiscaux jamais repentis mais encouragés par un gouvernement complice.
Et que chaque cotnribuable helvète contraint a déjà payé plutôt deux fois qu’une pour leur maintenir la tête hors de l’eau.
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