La tristesse révolue enfin passe.
Les angoisses désarmantes en trépas
De l'esprit grouillent,foisonnent d'airs fadasses,
Tant ces guerres à soi meme mettent à plat.
Et voilà q'une silhouette féminine,
Vous ravive l'énergie enterrée...
On converse,convertit,sa morne mine
En calin,en amour avéré...
On parcoure cette envie,ce désir,
En fantasmes endormis par dépit,
O surprise,ce coeur bat pour saisir,
Ce moment,ces soupirs;Comme on vit!
Enlacées,électriques sont les corps!
Liquéfiés,en tempete sont les flots!
Rassemblés en une ame,tout est or
Dans l'instant où les cris sont échos.