Adieux, dont la hate n'exclue pas la douleur,
Dès lors, dont les dilemmes tonnent dans mon coeur,
Délivré d'un bonheur dont je savais le leurre
Dont la voix chagrinnée résonne puis m'écoeure.
Les souvenirs brûlants restent bien dans ce lit
Bien que le doux regret dans mon esprit se lie
A une nostalgie qui sans doute se lit
Sur ma mine attristée, par les larmes salie.
La joie de ce visage m'a été otée;
Je me rappelle trop de l'amant que j'étais
Ces mometns sont finis, tués, executés !
Adieu, divinité, c'est la fin de l'été.