Fire Serpent

Publié le 19 août 2010 par Olivier Walmacq

genre: fantastique
année: 2007
durée: 1h25

l'histoire: Une forme de vie, échappée d'explosions solaires, est arrivée sur Terre il y a des milliers d'années. Actuellement, un spécimen a été capturé par l'armée, mais ce dernier est parvenu à s'échapper. Un pompier, une scientifique et un policier tentent de stopper la créature.

la critique de Eelsoliver:

Il existe des cas désespérés voire incurables dans le cinéma, des films clairement indéfendables et mauvais de la première à la dernière minute.
Fire Serpent, réalisé par ce cochon de David Terlesky en 2007, est de ceux-là. Que les choses soient claires: il n'y a strictement rien à sauver dans ce film fantastique.

Et une fois qu'on a dit cela, on a un peu près tout dit sur Fire Serpent. Personnellement, j'ai rarement vu un film aussi débile. David Terlesky croit avoir eu une idée de génie en mettant en scène un nouvel animal provenant des déflagrations du soleil.
Il s'agit plus précisément d'un serpent de feu et évidemment très hostile à l'espèce humaine. Complètement ridicule ! Les producteurs ne savent plus quoi inventer...

Toujours est-il que l'animal se cache sur la Terre depuis des millénaires. L'armée finit par capturer un spécimen. Le but est évidemment de s'en servir à des fins militaires pour le cas d'une nouvelle guerre. Mais bien sûr, la bestiole de feu s'évade et sème la panique.
Comment arrêter ce monstre de feu quasiment invulnérable ? Comment détruire un animal aussi puissant ? Autant de questions passionnantes que j'éviterai bien d'évoquer dans cette chronique.

Les effets spéciaux sont affreux. Les acteurs sont unanimement mauvais. La réalisation est insignifiante et transparente. En vérité, Fire Serpent appartient à cette catégorie de films fauchés et consternants, tournés en Roumanie ou encore en Bulgaire.
Je pense notamment à des titres comme Cerberus ou encore Gargoyles, des productions lamentables et minables. Bref, il conviendra de ranger Fire Serpent parmi les abominations du cinéma.

Note: