Genre : fantastique
Année : 2000
Durée : 1h48
L'histoire :
La critique de tangokoni :
Premier film produit par Toby Emmerich (producteur de l'effet papillon).
Nous voilà encore une fois plongés dans un paradoxe temporel, parfaitement mené par Denis Quaid et Jim Caviezel.
1999, John Sullivan (Caviezel) est un policier qui n'a pas fait le deuil de son père Franck (Quaid).
Un soir , lors d'une aurore boréale, les ondes de la radio amateur qui appartenait à son père, le connectent avec un homme qui se moque de lui lorsqu'ils parlent des équipes de Base ball, ils ne parlent apparemment pas de la même époque; le lendemain, il a la stupeur de se rendre compte que cet homme n'est autre que son père décédé 30 ans plus tôt.
Lui est en 1999, et son père est en 1969, la veille de son décés.
Cela aura un impact monumental sur la suite des évènements.
Les paradoxes temporels, sont ici abordés d'une manière habile, en incluant les risques trés graves de changer le cours des choses.
Toute leur vie s'en verra modifiée, le film nous emporte à la fois dans ces paradoxes, nous tenant en haleine, et dans une intrigue policière assez classique, certes, mais bien tramée, puisque en rapport avec les voyages dans le temps.
Dommage, je ne peux pas en dire plus, pour ceux ou celles qui ne l'ont pas vu, mais j'ai adoré ce film, je le trouve trés bien interprété et on n'a pas envie d'en manquer une seconde..
Il a été primé en 2001, d'un Saturn Award, auprés de l'Académie des films de science fiction, fantastique et horreur, pour le meilleur film fantastique.
Note : 18/20